Les saisons et les hommes

Les saisons et les hommes

Au versant du coteau, quand s’envolent les heures
C’est une voix profonde échappée du clocher,
C’est le chant marial, la cloche « nouveau-née »,
Qui vient charmer nos vies et purifier nos cœurs.

Si ce concert un jour te donne moins de joie,
Pense au ciel infini glorifiant la nature,
Va vers les étoiles au fond du ciel obscur,
Crois au ciel des Gaulois, bravé avec effroi,
Et les cieux vont t’offrir joie et sérénité.

Si tu as le bourdon, l’âme désaccordée,
Viendront les amis vrais, l’amour inespéré,
Et en toute saison, la vie saura t’aimer.
Que vibre dans tes murs la promesse des heures,
Bienheureux village qui veut croire au bonheur.

Yves Petit – janvier 2012