L’entretien des routes, le fauchage et le déneigement

© Romain GANGLOFF

Le réseau routier

L’entretien du réseau routier représente une lourde charge pour les communes. Afin de mieux le gérer, la voirie a été dès la création de la Communauté, une de ses trois compétences fondamentales.
Un accord a donc été trouvé entre les 13 communes

  • Les routes jusque-là gérées par les communes reliant celles-ci à l’exception des tronçons urbanisés

… ont été déclarées d’intérêt communautaire. Leur entretien a donc été transféré à la Communauté.

L’entretien des routes

Chaque année, un TRASERR d’environ 300 000€ est consacré à l’entretien régulier de nos routes intercommunales. Les communes ont transféré cette compétence. Le budget globalisé est plus conséquent. La Communauté est donc plus à même de négocier un marché plus important, à des prix plus intéressants.

Carte de la voirie de la Communauté de Communes Sausseron Impressionnistes
La carte ci-contre vous indique en rouge les portions de routes concernées.

L’entretien des talus

L’entretien des talus incombe à la communauté. En 2009, le fauchage s’effectue en deux fois :

  • au printemps : avec le passage d’une largeur d’épareuse, afin de préserver la biodiversité.
  • à l’automne : le nouveau fauchage comprend également le haut des talus.

Les services d’urgence

Il arrive chaque année que des trous se forment dans la chaussée, par exemple à cause du gel. La Communauté s’est dotée d’un outil adapté à l’urgence :

  • l’espace est d’abord sécurisé et balisé
  • l’entreprise qui a obtenu le marché intervient alors dans les trois jours.

Le budget de ces travaux d’urgence est de 30 000€ par an.

Le groupement de commandes

Les voies communales ont besoin également d’entretien. Le budget qui leur est consacré est lourd. D’où l’idée de mutualiser les besoins et les commandes, pour les communes qui en font la demande. Le budget globalisé étant plus conséquent, la Communauté est donc plus à même de négocier un marché à des prix intéressants. L’argent du contribuable que nous sommes est ainsi mieux géré, et chaque commune reste maître de ses propres travaux routiers